Mot-clé - Le Devin du village

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mercredi 26 janvier 2011

Manuscrit autographe du Devin du village de Jean-Jacques Rousseau

Manuscrit autographe du Devin du village de Jean-Jacques Rousseau (Ms PA 109, frontispice et f. 1r°).

Lieu de conservation : Bibliothèque municipale de Lyon.

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Jean-Jacques Rousseau entre Rhône et Alpes


Illustration : Manuscrit autographe
du Devin du village de Jean-Jacques Rousseau
(Ms PA 109, frontispice et f. 1r°)
L’exposition programmée à la Bibliothèque municipale de Lyon en avril-juin 2012, Jean-Jacques Rousseau entre Rhône et Alpes, se fixe le double objectif  de présenter les années passées par Rousseau dans l’actuelle région Rhône-Alpes et de proposer une réflexion sur le sens de ce parcours unique. L’exposition visera  à aider à  renouveler notre regard sur la personne et l’œuvre de l’écrivain en présentant des documents souvent peu connus du public.

A côté des années de bonheur vécues par Rousseau à Annecy et plus longuement à Chambéry (récit des Confessions), seront mis en valeur les séjours à Lyon, première grande ville française à être connue de l’écrivain (et devenant momentanément pour lui un anti-Genève), mais aussi à Bourgoin-Jallieu en 1768-70, séjour à la fois riche (rédaction du deuxième tome des Confessions, promenade botanique dans le Pilat) et sombre, comme en témoignent la correspondance angoissée de cette époque. C’est aussi à Bourgoin que Rousseau épousera Thérèse Levasseur dans une cérémonie devant le maire qui semble préfigurer le mariage civil, inconnu avant la Révolution.

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Rousseau et la musique

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L'association l'Oeil (Observatoire de l'Écriture, de l'Interprétation littéraire et de la lecture) a pour but de favoriser la recherche et la réflexion théorique en organisant des rencontres à Chambéry et en Savoie entre les écrivains et leurs lecteurs.
Depuis 2006, chaque saison de l'Oeil comporte une journée ou même un colloque sur l'oeuvre de Jean-Jacques Rousseau. L'association publie, sur son site, des comptes-rendus des communications (voir les textes consacrés à Rousseau).
Le 13 novembre 2010, l'Oeil organisait une rencontre sur Rousseau et la musique avec Michaël O'Dea, Anne-Marie Mercier, Pierre Saby et le groupe Cambéria.

Rousseau compositeur, théoricien et pédagogue de la musique

          Entre 1745 et 1750, Rousseau jeta les bases d’une pensée du musical, profondément fondée aux plans linguistique et anthropologique et qui renverse, au plan esthétique, ses engouements premiers pour la musique française (Lettre sur l’opéra français et italien, inachevée) et se construit progressivement comme système rigoureusement antagonique de celui de Rameau, lequel l’avait humilié lors de l’exécution de fragments de son opéra-ballet Les Muses galantes chez Leriche de La Pouplinière (Confessions, II, Livre septième).

 Au plan de la théorie acoustique, l’opposition se fonde sur la manière de discriminer entre bruit et son. Pour Rameau (et Diderot), le son musical, contrairement au bruit, n’existe que dans la complexité verticale de la résonance harmonique. Pour Rousseau, la résonance harmonique ne participe en rien de la définition théorique du son, pensé surtout comme entité simple, appréciable et discrète, et c’est en revanche le bruit qui est compris comme complexe, en ce sens qu’il serait un amas, un trop plein de sons. La science et la richesse harmoniques de la musique française, spécialement ramiste, la complexité des accompagnements d’orchestre (voire le manque de naturel du chant alla francese) deviennent donc pour lui des tares congénitales, liées au caractère a-musical de la langue, lequel pousse, en quelque sorte, les musiciens français à des excès sonores de nature compensatoire particulièrement néfastes à l’expression (articles « Musique » dans l’Encyclopédie, « Accompagnement », « Expression », « Imitation », « Harmonie », « Mélodie », « Son » dans le Dictionnaire de Musique). Autour des idées de simplicité et de naturel s’articule tout le système rousseauiste, et sur ces critères s’appuie sa louange du style des musiciens italiens, spécialement dans le domaine de l’opéra bouffon et de ses pratiques (Lettre sur la musique française, 1753).

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mercredi 05 mai 2010

Le Devin du village - Colin


Costume de Lavigne, rôle de Colin dans "Le Devin du village" de Jean-Jacques Rousseau.
Livret et musique de Jean-Jacques Rousseau. Paris, Martinet, 1811.
Gravé par Georges-Jacques Gatine d’après Gabriel.

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Le Devin du village - Colette


Dessin de Jean Hugueny, premier quart du 19e siècle.
Colette est un des personnages de l'opéra de Rousseau "Le Devin du village".
Colette avance, un mouton à ses côtés. Au deuxième plan, le village et une fontaine sur la gauche. A droite, le devin.

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