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jeudi 21 juillet 2011

Projets dans les territoires


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vendredi 10 décembre 2010

Maison de la Tour, à Thônes

C'est en 1730 que Jean-Jacques Rousseau rencontra, sur la route de Dingy, deux jeunes personnes qui l'amenèrent à Thônes, dans la propriété de la famille Galley de Saint Pierre. Melle de Galley appartenait à cette famille noble qui, outre le Manoir de la Tour visité par le jeune Rousseau, possédait à Thônes une maison de maître construite rue de la Saulne. Melle de Graffenried était demoiselle de compagnie dans la famille Galley.
Jean-Jacques Rousseau passa en leur compagnie une journée fort agréable, à cueillir des cerises, souvenir ému relaté dans Les Confessions.

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La Maison de la Tour, à Thônes

A proximité de la chapelle de La Bossonaz, sur un côteau ensoleillé s'élève l'ancien petit manoir de la Tour, propriété, jadis, de la famille Galley de Saint Pierre. Celui-ci reçut, en 1730, la visite de Jean-Jacques Rousseau, attiré en ces lieux par deux jeunes personnes rencontrées sur la route de Dingy.
Il s'agissait de Melle de Galley et de Mlle Graffenried, "une jeune bernoise fort aimable", demoiselle de compagnie dans la famille de Galley.
Jean-Jacques Rousseau passa en leur compagnie une journée fort agréable et a laissé dans Les Confessions un souvenir ému de ce qu'on appela dès lors : "L'Idylle des cerises".

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mercredi 01 décembre 2010

Environs de Thônes. Maison du cerisier de J. J. Rousseau

Carte postale envoyée de Savoie en 1905.

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mardi 26 octobre 2010

La Jeunesse de Jean-Jacques Rousseau : Partie champêtre à Thônes avec Melles Galley et Graffenried

Carte postale éditée pour le bicentenaire de la naissance de Jean-Jacques Rousseau : 1712-1912.
Elle illustre l'excursion du jeune Rousseau à Thônes, à la maison de la Tour, en compagnie de Melles de Galley et Gaffrenried.
La carte porte un cachet de l'ermitage des Charmettes.
Au recto, deux citations de Jean-Jacques Rousseau :
"Que mes lèvres ne sont-elles des cerises ! Comme je les leur jetterais ainsi de bon
coeur !"
"... Pour moi, je sais que la mémoire d'un si beau jour me touche plus, me vient plus au coeur, que celle d'aucuns plaisirs que j'aie goûtés en ma vie..." Confessions, part.1, livre 4.

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